La filiale de Rio Tinton Simfer S.A a procédé mercredi 7 novembre à Conakry, à une conférence nationale portant restitution de l’étude d’impact social et environnemental du projet Simandou.
La cérémonie s’est déroulée dans un réceptif de Conakry. Elle a mobilisé du beau monde. Autorités gouvernementales en charge des Mines, responsables de haut niveau de Rio Tinto et partenaires. Et bien d’autres experts des mines.
Dans le communiqué de presse signé de Rio Tinto, rendu public la veille de ladite conférence, il est noté que cette étude ‘’fournit des données importantes pour identifier les impacts potentiels du projet sur les communautés locales, l’environnement’’ durant tout le long du projet.
En outre, cette étude d’impact social et environnemental (EISE) prend en compte, les questions socio-économique ; sanitaire, sécuritaire… avec les à la clé, les mesures d’atténuation.
Rio Tinto, selon ses propres termes, rassure que l’étude d’impact social et environnemental présentée aux autorités guinéennes, a été réalisé en conformité avec la législation guinéenne, ses propres directives, et les normes de la société financière internationale, filiale de la Banque mondiale, associé au projet du Simandou.
Pour rappel, la production des premières tonnes de minerais de fer de Simandou est jusque-là initialement prévue en 2015. Seulement, à l’allure où vont les choses, ce rendez-vous est difficilement tenable, en raison du retard accusé par le calendrier de la mise en œuvre des préalables : la construction du chemin de fer et du port.