Valérie Trierweiler a donné une conférence de presse à l’occasion de son voyage en Inde. L’ex-Première dame, venue défendre les travaux d’Action contre la faim, n’a pas esquivé les questions personnelles.
Elle n’aurait raté ce déplacement «pour rien au monde». Tant pis si un communiqué est venu, le week-end dernier, officialiser la rupture entre François Hollande et Valérie Trierweiler, l’ex-Première dame ne voulait pas faire faux bond à l’association Action contre la faim (ACF), dont elle soutient les travaux. Arrivée à Bombay dimanche soir, Valérie Trierweiler a visité lundi un hôpital et un centre de lutte contre la malnutrition. Elle a ensuite donné une conférence de presse.
«C’est la troisième fois que je viens dans ce pays, la première fois j’étais venue comme journaliste, la deuxième fois comme Première dame, aujourd’hui qualifiez-le comme vous voulez, je suis très heureuse d’être avec vous», a-t-elle déclaré. Valérie Trierweiler n’a pas écarté les questions personnelles. Interrogée sur le bilan des mois passés à l’Elysée, elle a expliqué: «Le bilan, je ne sais pas si c’est à moi de le faire ou à vous. J’y suis restée 19 mois et je crois que j’ai pu découvrir des gens que je ne connaissais pas et même une partie de moi-même que j’ignorais. Je ne sortirai pas de cette expérience de la même façon qu’avant». Concernant son avenir, Valérie Trierweiler a répondu sans détour. «J’ai le temps, vous savez. Je l’envisage bien, ne vous inquiétez pas pour moi», a-t-elle dit.
Valérie Trierweiler a donné une conférence de presse à l’occasion de son voyage en Inde. L’ex-Première dame, venue défendre les travaux d’Action contre la faim, n’a pas esquivé les questions personnelles.
Elle n’aurait raté ce déplacement «pour rien au monde». Tant pis si un communiqué est venu, le week-end dernier, officialiser la rupture entre François Hollande et Valérie Trierweiler, l’ex-Première dame ne voulait pas faire faux bond à l’association Action contre la faim (ACF), dont elle soutient les travaux. Arrivée à Bombay dimanche soir, Valérie Trierweiler a visité lundi un hôpital et un centre de lutte contre la malnutrition. Elle a ensuite donné une conférence de presse.
«C’est la troisième fois que je viens dans ce pays, la première fois j’étais venue comme journaliste, la deuxième fois comme Première dame, aujourd’hui qualifiez-le comme vous voulez, je suis très heureuse d’être avec vous», a-t-elle déclaré. Valérie Trierweiler n’a pas écarté les questions personnelles. Interrogée sur le bilan des mois passés à l’Elysée, elle a expliqué: «Le bilan, je ne sais pas si c’est à moi de le faire ou à vous. J’y suis restée 19 mois et je crois que j’ai pu découvrir des gens que je ne connaissais pas et même une partie de moi-même que j’ignorais. Je ne sortirai pas de cette expérience de la même façon qu’avant». Concernant son avenir, Valérie Trierweiler a répondu sans détour. «J’ai le temps, vous savez. Je l’envisage bien, ne vous inquiétez pas pour moi», a-t-elle dit.
L’ex-Première dame est venue en Inde pour soutenir l’initiative d’Action contre la faim, qui vise a éliminer la malnutrition dans le pays. Valérie Trierweiler a notamment présenté une pâte très nutritive, destinée aux enfants souffrant de malnutrition. «Lorsque j’ai pris ce matin cet enfant dans mes bras, ce petit bébé qui était vraiment en grande souffrance de malnutrition (…) j’ai été bouleversée et je crois que c’est le moment le plus fort que j’aurai vécu au cours de ce voyage», a-t-elle confié.
En Inde, 8 millions d’enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition. Parmi les enfants qui meurent avant l’âge de 5 ans, «54% décèdent de causes reliées à la malnutrition», a expliqué ACF. Dans le pays, un enfant meurt de faim toutes les 30 secondes, ainsi que l’a souligné Valérie Trierweiler. Dans le monde, d’après le Programme alimentaire mondial, 842 millions de personnes souffrent de la faim.