Conakry-Guinée : La saison des pluies s’annonce avec ses corollaires notamment l’apparition des maladies à potentiel épidémiologique et infectieuses à l’image du choléra, diarrhée et autres maladies hydriques. A Conakry, le fait est palpable avec des grandes pluies qui continuent de s’abattre sur la capitale et ses périphériques.
Elles entrainent non seulement des maladies que contractent souvent des enfants dans les eaux stagnantes mais aussi des cas de mort suite à l’écoulement puissant des eaux de ruissellement.
Pour en savoir davantage sur cette situation pendant cette période, il suffit de faire un constat lorsqu’il pleut à Conakry et dans certaines périphéries. Dans ces endroits, les ordures sont jetées par-ci par-là par des citoyens. Une pratique qui provoque tas de maladies à l’image du choléra qui est une maladie provoquée par une bactérie retrouvée dans les eaux usées et dans des eaux stagnantes.
Les maladies que les citoyens de Conakry sont susceptibles d’attraper pendant cette saison des pluies parce que les eaux contaminées drainent avec des germes peuvent provoquer la diarrhée et le vomissement. Or, beaucoup de citoyens ont la mauvaise habitude de jeter les ordures dans les caniveaux pour que l’eau de ruissellement les draine loin de leurs domiciles sans se soucier de ce que cela peut causer sur la santé des populations principalement les enfants.
Les populations doivent appliquer la rigueur, la règle afin d’instaurer le civisme dans le sens large. Toute règle qui donnerait un ouf de soulagement aux populations pour la préservation de la santé, mais aussi et surtout pour la santé des concitoyens.
Amara Touré