Pourquoi en veut-on autant, au leader du parti Nfd, nouvelles forces démocratiques? Les langues se délient peu à peu. On en sait donc un peu plus sur les motivations profondes des esprits dénigreurs de Mouctar Diallo.
En effet, à première lecture de cette vaste campagne de dénigrement contre ce jeune leader, on penserait naturellement au camp d’en face, le pouvoir, qui tenterait tout pour tenter de réduire au silence, un opposant gênant, bavard et peu enclin au conformisme. Mais erreur! Il n’en serait pour rien, ou pas grand chose, de bonnes sources.
Les tirs croisés contre Mouctar Diallo par médias interposés viendraient- le conditionnel, pour simplement éviter de donner des noms- de sa propre famille politique, Ufdg, principal parti d’opposition.
Pour cause, sans nul doute de guerre de positionnement. Certains de ce parti, regardent depuis peu, Mouctar Diallo du coin de l’œil. Ils ne lui passent même plus de cola, pour faire dans l’euphémisme. Ils s’organisent en de petits clans et réseaux pour mieux abattre leur cible qui ne doit en aucun cas, leur ravir la première loge aux cotés du grand chef qui observe pour l’heure, les choses avec recul., semble-t-il. Ils soupçonnent le jeune leader de prétendre à la relève à la suite de Cellou Dalhein Diallo après les échéances de 2015. Mais Mouctar Diallo qui semble pour le moment concentré sur les choses sérieuses, continue quand même par sa méthode de faire pâlir de jalousie, de susciter l’adversité politique.
Ce n’est pas tout, bien d’autres ambitieux de l’Ufdg suspectent Mouctar Diallo de surveiller une éventuelle candidature dans la commune de Ratoma, lors des prochaines élections communales.
En conséquence, pour tenter de démolir politiquement le leader des NFD, l’astuce trouvée consiste à présenter Mouctar comme un collaborateur de l’ombre du pouvoir d’Alpha Condé. Comme si cela ne suffisait pas, il est accusé d’avoir pris 3 milliards de francs avec le président Alpha Condé pour faire face aux frais de location d’un hypothétique établissement scolaire à Conakry. Alors qu’à la vérité -puisque c’est vérifiable- Mouctar Diallo aurait, selon de bonnes sources, demandé et obtenu un prêt, auprès d’une banque de la place pour les besoins qui se posent à lui.
Pour terminer, la politique, qu’on le retienne pour dit, est un combat qui se moque parfois éperdument de la logique dans laquelle beaucoup semblent s’enfermer. Et seul compte, le rendement…