« La prise du pouvoir par la force, quelles qu’en soient les motivations, est une violation des lois de la République et contraire aux valeurs et principes consignés notamment dans les Déclarations de Bamako. Rien ne peut justifier une telle violation de nos principes fondamentaux. C’est pourquoi, j’ai tout de suite condamné fermement ce coup d’Etat militaire en Guinée », a déclaré la secrétaire générale au début des travaux.