La coordination nationale des producteurs et réalisateurs indépendants de l’audiovisuel de Guinée (CNPRIAG) et l’Organisation culturelle pour la paix et le développement ont expliqué les problèmes liés à leurs activités surtout liées au Bureau guinéen des droits d’auteurs (BGDA).
«De nos jours, la production et la distribution des œuvres cinématographies et vidéographies sont devenues de plus en plus difficiles, car de nombreux producteurs, distributeurs et importateurs agréés conformément à l’article 10,18 et 24 du décret portant réglementation du secteur cinéma, la vidéo et la photo de Guinée sont accusés à l’origine de la piraterie des œuvres vidéographiques, des arrestations arbitraires, des menaces et d’intimidations de la part du bureau guinéens de droits d’auteurs(BGDA) » dénonce Ibrahima Aminata kaba, président de CNPRIA-Guinée.
Pire, à ses yeux, l’absence de notre pays dans les rencontres cinématographiques et audiovisuelles est due à la qualité des productions, la faiblesse des moyens de nos productions, la diffusion dans les différents quartiers de nos produits par des câblodistributeurs etc…
Pour mieux exercer cette profession, il en appelle aux autorités pour leur » protection et une assistance physique et morale ».
Mariame Sylla