Élu à la tête du parti conservateur, Boris Johnson est devenu le Premier ministre du Royaume-Uni le 24 juillet dernier. Figure de proue du Brexit, qui a eu lieu ce 31 janvier, l’ancien maire de Londres est également connu pour mener une vie sentimentale très tumultueuse.
Mardi 23 juillet 2019, Boris Johnson était élu à la tête du parti conservateur, et devenait Premier ministre du Royaume-Uni dès le lendemain. Six mois plus tard, il a mené à bien la sortie très compliquée de son pays de l’Union européenne, effective ce 31 janvier. Et c’est notamment grâce à son ambitieuse compagne, Carrie Symonds, que celui que l’on surnomme « Bo Jo » a décroché cette place au 10 Downing St. Grande admiratrice de Michelle Obama et militante féministe, la jeune femme de 31 ans native de Londres et diplômée en histoire de l’art a connu une ascension fulgurante comme attachée de presse et directrice de la communication du parti conservateur. C’est d’ailleurs là qu’elle rencontre l’homme politique, lorsqu’elle contribue à sa réélection à la mairie de Londres, en 2012.
Après plusieurs mois de liaison secrète où Boris Johnson la « bombarde de textos enflammés », précise Le Point, leur relation éclate au grand jour, en septembre 2018. S’ensuit alors un véritable scandale. Lassée des infidélités de son mari, Marina Wheeler, avocate, épouse du conservateur depuis 25 ans et mère de leurs quatre enfants, demande le divorce. Celle-ci avait déjà dû subir en 2009 les infidélités de son mari avec la consultante en arts Helen Macintyre, qui avait même donné naissance à un enfant, issu de leur relation. Un divorce qui est également un deuxième échec marital pour « Bo Jo », qui a été marié en premières noces à Allegra Mostyn-Owen, de 1987 à 1993, et qu’il avait rencontré durant ses études à Oxford.
Carrie Symonds « la briseuse de ménage »
Mais tandis que la presse se déchaîne contre Carrie Symonds, « la briseuse de ménage », de cinq ans plus âgée que Lara Lettice, la fille aînée de son amant, celle-ci attend que l’orage passe. Et elle n’a alors pour objectif que de se concentrer en coulisses sur l’élection de Boris Johnson au poste de Premier ministre. « Carrie le façonne », racontait ainsi un proche au Daily Mail en janvier dernier, précisant que la jeune femme était même surnommée en privé FLOTUS, soit « First Lady of The United States », un surnom réservé aux premières dames américaines. « Une référence à son degré d’importance dans la vie de Boris Johnson et ses ambitions pour les hautes sphères du Parti conservateur », précisait la source.
Une violente altercation en juin dernier
Mais au-delà de la politique qui semble les unir, Boris Johnson a déjà émis, selon le Sunday Times, son intention d’épouser Carrie Symonds, car il est « tellement amoureux de sa nouvelle petite amie qu’il veut en faire sa troisième épouse ». En juin dernier pourtant, la police était intervenue suite à une altercation violente entre le conservateur et sa compagne à leur domicile. Un voisin avait confié au Guardian avoir entendu une femme crier suivie de « claques et coups », demandant à la « lâcher » et de « sortir de [son] appartement ». Depuis l’incident, Boris Johnson se refuse à tout commentaire. Et sa compagne fait de même. Un silence qui leur a permis d’atteindre les hautes sphères du pouvoir ?
in Closermag