Quelques minutes après sa libération par la cour d’appel de Kaloum, Malick Kébé s’est exprimé: « C’est trop tôt de parler en ces moments. Dieu merci… »
Sous le coup sans doute de l’émotion, Malick Kébé n’a pas souhaité livrer tous ses sentiments en ce jour de liberté retrouvée. Mais cet état de fait, ne semble en rien entamer le caractère de l’homme.